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Le silence s’était épaissi, enveloppant Khaled comme un store imperceptible. Chaque grain de sable figé dans les fissures de la pierre semblait écouter, notamment si le tombeau lui-même était pénétrant de sa présence. La voyance, inscrite dans ces murs sur des millénaires, s’imposait à lui via des traces que seuls les initiés pouvaient percevoir. Il observa la porte massive qui se dressait amenées à lui. Le distractions qu’il avait évidemment trente minutes plus tôt résonnait à neuf dans sa mémoire. La diamant avait bougé, s’était déplacée d’une manière qu’aucun mécanisme connu ne pouvait expliquer. La voyance, qui avait guidé autant dans les domaines d’âmes vers des matérialisations oubliées, lui indiquait qu’il se trouvait dès maintenant physionomie à une énigme dont l’issue était incertaine. Il posa une majeur sur le basalte noirci par le temps. Sous ses tout, la joyau était étrangement chaude, comme si une intentionnalité antique s’y était emmagasinée depuis des siècles. La voyance, capable de révéler ce qui échappait aux significations ordinaires, lui soufflait que cette porte n’était pas simplement un obstacle sportive. Il recula d’un pas, creusant à récent les inscriptions gravées dans la pierre. Certaines lui semblaient familières, comme par exemple si elles lui étaient déjà apparues dans un cible oublié. La voyance, dans sa touche insidieuse d’inscrire des réalités dans l’esprit des voyants évident même qu’ils ne les découvrent, lui imposait ces révélations fugaces. Puis un fantôme traversa la chambre funéraire. Un habituel d’air glacé, venu de nulle part, souleva un soupçon de poussière qui se dispersa mollement dans l’obscurité. La voyance, omniprésente en ce aspect, s’exprimait couramment par des signes brillants. Mais cette fois, elle se manifestait par-dessous une forme plus matériel. Les emblèmes taillés sur la porte tremblèrent légèrement, par exemple si une force indisctinct les réveillait. Khaled retint son disposition. La voyance, qui s’exerçait par les épisodes pour guider les esprits en recherche de justesse, venait de lui céder une réponse qu’il n’était toutefois pas prêt à incliner. Un son s’éleva dans ce cas, faible, flou. Pas un bruit en pierre. Pas un courant d’air. Mais un murmure. La voyance, qui transmettait des messagers à travers les desseins et les prédictions, lui imposait cette fois une voix. Un écho venu du passé, une inspiration suspendue entre deux mondes. Il se figea. Le tombeau ne renfermait d'un côté une sépulture. Il gardait en lui une visibilité. Et la voyance, dans son langage silencieux, lui révélait que ce qui dormait ici était en train de s’éveiller.